Selon une source confidentielle auprès de la Cour pénale
internationale (CPI), l'institution dépêchera dans les heures qui
viennent des enquêteurs dans tout le pays principalement à Lomé, Sokodé,
Mango et Bafilo pour suivre de près l'évolution de la situation suite
aux manifestations de l'opposition réprimées dans le sang par la soldatesque au pouvoir avec à sa tête le criminel Faure Gnassingbé.
La même source indique que les enquêteurs vont recuellir des
temoignages concernant les tueries de Lomé, Sokodé, Bafilo et Mango
depuis le 19 Août 2017.
La Cour nous dit-on, a principalement dans son viseur les auteurs des tueries depuis 2005 et surtout le Ministre de la Sécurité Yark Damehane sur lequel pèse déjà une plainte auprès du Bureau du Procureur.
La résurrection du carnage de 2005 qui a fait au moins 500 morts selon un rapport des Nations Unies n'arrange en rien "l'autiste" Faure Gnassingbé et son pouvoir. Ce dossier en rappel concerne les violences post-électorales qui ont consacré la captation du pouvoir par le fils du défunt dictateur Eyadèma Gnassingbé dont la famille tient en otage le Togo depuis 50 ans.
Déjà lundi dernier, la Commission des droits de l'homme de l'ONU à Genève avait fait part de ses inquiétudes face aux violations répétées et systématiques des droits humains et aux assassinats dans le pays. Elle pourrait aussi y envoyer une commission d'enquête très prochainement.
De toute part la pression s'accentue sur l'usurpateur Faure Gnassingbé y compris sur le territoire national où les manifestations ne faiblissent pas avec malheureusement son cortège de tueries à balles réelles.
Depuis deux mois, on dénombre au moins 12 morts dans le pays dont la plupart sont des adolescents et plus de 200 blessés dont des cas graves.
La question est de savoir combien de temps ce pouvoir tiendra-t-il encore.
Par : Anani Sossou
La Cour nous dit-on, a principalement dans son viseur les auteurs des tueries depuis 2005 et surtout le Ministre de la Sécurité Yark Damehane sur lequel pèse déjà une plainte auprès du Bureau du Procureur.
La résurrection du carnage de 2005 qui a fait au moins 500 morts selon un rapport des Nations Unies n'arrange en rien "l'autiste" Faure Gnassingbé et son pouvoir. Ce dossier en rappel concerne les violences post-électorales qui ont consacré la captation du pouvoir par le fils du défunt dictateur Eyadèma Gnassingbé dont la famille tient en otage le Togo depuis 50 ans.
Déjà lundi dernier, la Commission des droits de l'homme de l'ONU à Genève avait fait part de ses inquiétudes face aux violations répétées et systématiques des droits humains et aux assassinats dans le pays. Elle pourrait aussi y envoyer une commission d'enquête très prochainement.
De toute part la pression s'accentue sur l'usurpateur Faure Gnassingbé y compris sur le territoire national où les manifestations ne faiblissent pas avec malheureusement son cortège de tueries à balles réelles.
Depuis deux mois, on dénombre au moins 12 morts dans le pays dont la plupart sont des adolescents et plus de 200 blessés dont des cas graves.
La question est de savoir combien de temps ce pouvoir tiendra-t-il encore.
Par : Anani Sossou
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