Emmanuelle Sodji, correspondante de France 24 et TV5 au Togo s'est vue le 06 Septembre 2017 son accreditation retirée par les autorités Togolaise. On se souvient que la journaliste correspondante avait couvert les manifestations des 19 Août, 06 et 07 Septembre 2017 organisées par l’opposition au Togo.
Les raisons évoquées pour ce retrait ou encore pour la faire taire est qu'au lendemain des manifestations dites violentes de l’opposition au Togo, Emmanuelle Sodji postait sur son twitter comme titre « la chasse à l’homme rouge » pour évoquer l’arrestation des auteurs de troubles à l’ordre public et autres actes de vandalisme commis sur des biens publics. selon les autorités ce twitte ne venait que corroborer son militantisme au sein de l’opposition.
Emmanuelle Sodji, journaliste ou militante?
Emmanuelle n'a pas cachée son militantisme; elle l'avait clairement laissé constater dans ses productions médiatiques à sens unique ou biaisées au profit de l’opposition. Cela aurait suffit donc aux autorités compétentes du Togo pour prendre leurs décision : le retrait pur et simple de son accréditation.
Pour appuyer leur affirmation, les autorités explique que la correspondante de France 24 et TV5 au Togo versait sans gêne et dans la légèreté l'essence sur le feu dans le traitement des informations particulièrement en ces temps de tension politique que traverse notre pays. Emmanuelle Sodji faisait des reportages tronqués, donnait des chiffres exagérés au profit de l’opposition sans prendre la peine de les juxtaposer avec ceux des sources policières chargées d’encadrer les différentes manifestations comme cela se fait habituellement dans le monde. "Lorsqu’un reportage relaie les chiffres indiqués par les manifestants, il annonce à côté aussi les statistiques des sources policières ou du gouvernement". Mais tel n’a pas été malheureusement le cas dans le reportage de la consœur Emmanuelle Sodji, ont-ils remarqué.
C'est donc le ministre de la communication qui avait saisi par courriers, les directions générales des chaînes de plaintes sur les mêmes faits espérant que pour les occasions à suivre, les reportages gagneraient en crédibilité et en respect des normes. Mais hélas.
Le traitement de l’information sur les événements du 06 septembre dernier s’est révélé encore plus déséquilibré ce qui avait poussé les autorités compétentes à conclure que Emmanuelle Sodji n'est pas une journaliste mais une militante travaillant seulement que pour le compte de l'opposition togolaise.
Plus loin relèvent-ils également que pour la dernière opération « ville morte » annoncée par l’opposition, alors que les activités s’étaient déroulées normalement à Lomé, les images prises très tôt le matin à 6 heures, avant l’ouverture des magasins, images prises par France 24 et TV5, sous la houlette de leur correspondante, montraient des rues désertes, avec des commentaires triomphalistes présentant l’opération comme « une totale réussite ». Et quand le 29 août 2017, le parti au pouvoir UNIR marche en drainant une foule immense que d’aucuns qualifient d’inhabituelle et jamais vu au Togo, marchant pacifiquement pour la paix, France 24 dans son reportage, n’a fait qu’un traitement sous forme de « brève », c’est-à-dire un commentaire sur images furtives durant à peine 30 secondes. Mais Emmanuelle Sodji était surtout intéressée par le procès des militants de l’opposition ayant commis des actes de vandalisme, lequel procès se tenait le même jour.
Etant déjà et depuis dans la ligne de mire des autorités et du gouvernement, Emmanuelle Sodji, le 6 Septembre 2017, lorsque l’opposition marche à nouveau, était encore très active, selon eux, dans ses reportages au profit de « ses amis politiques ». Dans une rue qui ne peut guère compter plus de 10.000 personnes, Emmanuelle Sodji, a dénombré 100.000 marcheurs. Et comme pour simuler un équilibre, la journaliste Sodji se contente de montrer un petit attroupement en fin de meeting de la mouvance dans sa chute, en lieu et place de la foule, et d’un reportage équitable pour les manifestants des deux bords. Elle s’est donc à dessein investie à montrer un espace clairsemé qui a été diffusé sur france 24 qui ne croise même pas avant diffusion les informations manipulées que lui remonte sa correspondante en mission commandée; affirment - ils.
Etant déjà et depuis dans la ligne de mire des autorités et du gouvernement, Emmanuelle Sodji, le 6 Septembre 2017, lorsque l’opposition marche à nouveau, était encore très active, selon eux, dans ses reportages au profit de « ses amis politiques ». Dans une rue qui ne peut guère compter plus de 10.000 personnes, Emmanuelle Sodji, a dénombré 100.000 marcheurs. Et comme pour simuler un équilibre, la journaliste Sodji se contente de montrer un petit attroupement en fin de meeting de la mouvance dans sa chute, en lieu et place de la foule, et d’un reportage équitable pour les manifestants des deux bords. Elle s’est donc à dessein investie à montrer un espace clairsemé qui a été diffusé sur france 24 qui ne croise même pas avant diffusion les informations manipulées que lui remonte sa correspondante en mission commandée; affirment - ils.
De même, alors que sa hiérarchie avait accepté un droit de réponse sur un sujet sur TV5 Monde après l’interview accordée à l’opposant Tikpi Atchadam, Emmanuelle Sodji, se refuse de s’exécuter. TV5 a dû recourir à une autre approche pour obtenir le droit de réponse du gouvernement. Ce comportement selon l'autorité ne montre pas une parité ni le professionnalisme dans l'exercice des fonctions de la consœur Sodji.
"Pour n'avoir pas agit sans préavis, et mieux encore, la correspondante avait été plusieurs fois rappelée à l’ordre par les autorités compétentes togolaises invitant cette dernière à respecter les règles déontologiques, si non elle pouvait logiquement se voir retirer son accréditation".C'est donc le ministre de la communication qui avait saisi par courriers, les directions générales des chaînes de plaintes sur les mêmes faits espérant que pour les occasions à suivre, les reportages gagneraient en crédibilité et en respect des normes. Mais hélas.
Le traitement de l’information sur les événements du 06 septembre dernier s’est révélé encore plus déséquilibré ce qui avait poussé les autorités compétentes à conclure que Emmanuelle Sodji n'est pas une journaliste mais une militante travaillant seulement que pour le compte de l'opposition togolaise.
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